Cette affiche est belle, vous pourrez l’acheter pendant le festival (c) Damien Tran.

Attention s’il vous plaît, une grande semaine débute à Dijon avec la deuxième édition du Humanist Records festival, du 8 au 13 mars. Pour ceux ou celles qui ne connaîtraient pas encore, ce festival a une identité marquée par des petits chats cyclopes, des artistes aux noms évocateurs tels que Dolphins Into The Future, et des musiques souvent qualifiées de drones, rétro-futuristes, relaxantes ou aériennes.

Prenez par exemple la description du fameux projet Dolphins Into The Future : « Sous ce pseudonyme se cache le belge Lieven Martens. Ce dernier tente d’entrer en connexion télépathiques avec les dauphins, tout en développant une recherche sonore dont le résultat n’est pas sans rappeler des artistes tels que Oneothrix, Point Never, Sun Araw et Duck Tails ». Serious shit.

Le Humanist Records festival sera aussi l’occasion d’apprécier la venue de Julianna Barwick, une première en Europe, pour une performance vocale et atmosphérique au musée archéologique de Dijon (mercredi) qui frappera sans doute les esprits. A ne pas manquer également, à la Péniche Cancale dimanche, Chelsea Wolfe dont on vous avait parlé ici. L’ensemble de la programmation est à consulter sur le tumblr du festival, et on vous conseille grandement de réserver vos billets (contact@humanistrecords.com).

Et comme tous ces concerts nous excitent terriblement, on vous fera part de nos comptes-rendus et analyses dans la plus pure tradition du journalisme d’investigation tout au long de la semaine.

Humanist Records festival #2 sur Facebook.


(c) Michael Sallit