Le Cirque du Soleil, c’est typiquement le genre de phénomène que tout le monde a-do-re. Que ce soit ta grand-mère, ton petit neveu ou même ton meilleur pote, on a déjà au moins une fois dans ta vie essayé de te lobotomiser le cerveau avec le bonheur procuré par ce poids lourd du divertissement. Comme le spectacle Saltimbanco passait à Dijon ce week-end, le mec qui s’occupe de la promo a proposé à tous les médias locaux de venir visiter les coulisses. Comme j’avais pas grand-chose d’autre à faire, j’ai pris la Clio 3 portes de fonction et je me suis pointé à l’heure du rendez-vous, entrée backstage du Zénith. Récit en images.

Vue depuis la scène, au fond l’orchestre. Les types jouent live pendant le spectacle. C’est bien.

 

 

Cet athlète, qu’on appellera Igor, était en train de répéter son show quand je suis arrivé. Il utilise deux élastiques pour « voler » au dessus de la scène.

 

 

Comme je vous disais, le trait flou horizontal au dessus de la piste, c’est Igor.

 

 

Petit papillon va s’envoler.

 

 

Juste derrière la scène, c’est le coin détente. On peut y croiser les artistes en sandales en train de se faire un petit jeu, ou papoter. Trankilou.

 

 

Les deux personnes qui regardent l’écran ne sont pas en train de jouer à Call Of Duty sur PS3. Ils revoient le spectacle, s’arrêtent sur certaines scènes et peaufinent les derniers détails de leur prestation.


 

L’attachée de presse me présente maintenant les appareils de musculation posés sur place et qu’ils doivent se trimballer partout. Les gens ici ont des programmes spéciaux à suivre à la lettre pour assurer le spectacle.

 

 

On m’amène à présent dans les étages du Zénith, vers les loges artistes où je n’aurai pas le droit de rentrer malgré mes demandes. Ici, c’est le spot de Rebecca, la responsable des chaussures.  Hé ouais ! Quand la peinture se barre à certains endroits de la godasse, Rebecca est là pour remettre tout en état.

 

 

Rebecca s’occupe de ça, multiplié par 20.

 

 

Là, c’est le coin couture et « petites mains ». Quand il faut rafistoler les costumes, c’est ici que ça se passe.

 

 

Singer. Apparemment, c’est la mascotte de l’équipe. Je trouve des machines plus modernes à côtés mais les brodeuses aiment bien se servir de celle-ci aussi. L’humour canadien sans doute.


 

Des serviettes, du tissu, des costumes et des Russes.

 

 

Tout le monde a son chapeau.

 

 

Comme à la maternelle.