Pourvoyeur d’infos exclusives et de qualité, Sparse te donne cinq nouveaux noms de la prog’ du festival Kill Your Pop 2013. La première fournée, c’était il y a 15 jours. Entre temps, The Babies ont annulé, mais rien de grave, la fête sera belle.

 

ANIKA | écouter
« Avant de devenir une artiste accomplie, Anika a avant tout été journaliste et promoteur de musique, jobs au cours desquels elle a pu rencontrer le groupe de Bristol, BEAK>. Une semaine plus tard, ils se retrouvaient en studio et enregistraient, douze jours durant, le premier album de la jeune anglaise. Le résultat de cette collaboration ? Un mix de political/trashy/discordent/reggae/German/old school Bristol/punk-funk music ! » – Sound of violence

 

SPITZER  | écouter
« Les âmes esthètes traumatisées par Pills, Sleigh Bells ou Crystal Castles peuvent tout de même inspirer une bolée d’air frais: si Spitzer est un groupe de rock électronique, ils ont la décence de ne pas mettre une once de rock dans leur musique. » – The Drone

 

 

THE GEORGE KAPLAN CONSPIRACY 
| écouter  (région Bourgogne > tu votes)
« Le moins que l’on puisse dire, c’est que The George Kaplan Conspiracy ne perd jamais le nord. Et surtout pas le nord de l’Angleterre. Depuis Dijon, trois garçons (presque) imaginaires écrivent des chansons avec l’accent de Manchester. Alors, on se déhanche langoureusement sur cette électropop mutine et crâne, aussi bien destinée à la chambre à coucher, aux dancefloors délabrés qu’aux salles assermentées. Pour The George Kaplan Conspiracy, ce sera bientôt l’amour (des fans) aux trousses. » – GéNéRiQ

 

 

EVENING HYMNS | écouter
« L’auteur du génial album Spirit Guides répond au nom étrange de Jonas Bonnetta, un Canadien de vingt-huit ans grandi à la campagne mais résidant aujourd’hui à Toronto, au beau milieu d’une scène pléthorique – de The Magic à Timber Timbre. Il n’empêche. Le jeune homme n’a pas oublié ses racines, et il a même gardé… la main verte à l’heure d’imaginer des compositions à haute teneur organique, viscéralement entêtante et obsédante. » – Magic

 

 

CUT HANDS | écouter
« Transes africaines et rafales électro-indus. Le live ne pardonne pas : volume élevé, tension constante, on retrouve ce sens de la confrontation propre à la musique industrielle. – Hartzine