Vain dieu de champion ! Ça vient de chez nous ça ! Emmanuel Seuriot avait déjà terminé champion de France de bodybuilding l’année dernière. Gloire.
Cette fois il se frottait au championnat du monde de « construction du corps »
à 42 ans. Balèze, huilé à souhait, moulé dans son petit slip, à base de cinq séances de muscu’ par semaine et certainement pas mal de bidon de poudre de prot’, notre Manu finit 4e au championnat du monde amateur grande taille poids lourd à Verone, en Italie. 4e, une vraie place de Français.
Alors vous allez me demander : quel genre d’activité a dû faire Manu pendant la compétition ? Soulever des poids ? Casser des briques avec sa tête ? Répondre à un quizz de culture gé’ ? Non, rien, juste montrer son corps en tournant ses bras et forçant son sourire. Et à ça, il est très fort le Manu.
Mais le plus fort chez Emmanuel Seuriot, ce n’est pas son corps de rêve complètement too much. Le plus fort, c’est que ce mec habite dans le Chatillonais, ça c’est une putain de performance. Respect.
– La rédaction
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