Le taff, l’automne qui te tape derrière la tête sans prévenir, le changement d’heure, la nuit à 18h, le début de la déprime… mais c’était sans compter sur l’événement qui va te faire sortir de ton instant « cosy/cocooning/hibernation/jeveuxmependre » : la 33ème édition du festival NEVERS À VIF.

« Un festival ? Oui mais on fait quoi des gosses ? »

Nevers à vif c’est pour les plus jeunes comme pour les plus gros fêtards. Vous allez pouvoir leur faire découvrir l’univers du rap avec un professeur (BOOMBAP) le jeudi 31 à 16h, prêt à faire de vos enfants de véritables Tupac et Biggie.

« Un festival ? Oui mais à force de se déchaîner on a soif ! »

Nevers à Vif c’est aussi les bars à vif. Le jeudi 31 octobre sera rythmé par l’effervescence rock dans l’ensemble des bars de la ville où auront lieu de nombreux concerts. De la Brasserie OLIEU au Chat qui Louche en passant par Le Continental, la Tavern’, les Arcandiers et c’est assez rare pour le souligner : Le Donald’s Pub : Prépare-toi à vivre ta plus belle nuit neversoise. 

« Un festival ? Ouais bof, ras-le-bol d’avoir que du rock ! »

Attaché à son empreinte rock, Nevers à Vif s’ouvre tout de même vers d’autres esthétiques musicales : hip-hop, punk, rock, rap, grunge, électro… De quoi réjouir tous ceux qui en ont marre des sempiternels « I love rock’n’roll, so put another dime in the jukebox baby »

« Un festival ? Ouais mais on suffoque tous entassés dans une salle ! »

Nevers à Vif revient avec son acolyte légendaire : le chapiteau en extérieur, sur l’esplanade du Palais Ducal. Mi- dehors, mi-dedans, tu ne peux pas venir te plaindre.  

« Bon, ok, va pour un festoch. Sauf que ça va nous coûter encore une blinde cette histoire ! »

Nevers à Vif instaure un nouveau concept plutôt sympa cette année, je sais pas si tu connais, faut absolument que tu test : la gra-tui-té

Plus aucune excuse n’est valable pour ne pas te croiser du 30 octobre au 2 novembre ! L’équipe de Sparse sera présente pour l’occasion, et ça, c’est un gage de qualité !

Toutes les informations complémentaires sont ici

  • Victoire Boutron / Photo : Brice Vanel