Moi, j’ai une passion pour les films de sous-marins, je ne sais pas pourquoi car ça m’angoisserait vraiment d’être dans une boîte en fer à 100 mètres de fond, mais depuis que je suis ado j’adore ça.

Le genre de guilty que tu n’avoues que dans les circonstances extrêmes. Un peu comme le biathlon, j’adore, alors que j’aime pas les armes et que je suis nul en ski de fond mais bon par encore de biopic sur Martin Fourcade à venir donc concentrons nous sur les sous-marins. Oui, c’est anxiogène et le parallèle entre le confinement et la vie en communauté sous la ligne de flottaison est assez évidente mais bon, on est mieux dans son canap’ que assis sur une torpille nucléaire.

Le Chant du Loup – 2019

Film français pas trop mal qui a eu un certain succès, le plus récent avec une brochette d’acteurs qui tient le pavé et le spoil à la fin est cool. Et puis Mathieu Kassovitz est presque aussi bon dans ce film que dans le Bureau des Légendes, donc clairement recommandé.

À la poursuite d’Octobre Rouge – 1990

LE classique par excellence à voir et revoir en VHS ou en streaming ! Sean Connery en grand patron prêt à passer à l’ouest en livrant le joyau des Russes ! Avoue, tu l’as déjà vu un dimanche soir après une pub Carte Noire… Try to remember…

Kursk – 2018

Assez récent, qui raconte l’histoire vraiment tragique de ces marins russes qu’on a laissé crever par fierté de la nation russe. Larme à l’oeil mais « les gars d’la mer les gars d’la mer cœur sur la main et caractère ! »

U-571 – 2000

Ça se passe pendant la 2ème guerre où les U Bot allemands faisaient le ménage dans l’Atlantique. Bon production alliés, donc ça se termine bien mais ça fait du bien de voir des mecs tourner des grosses manettes.

https://youtu.be/Oj4jp4h5syE

Hunter Killer – 2018

Le film ricain par excellence avec des explosions et tout et tout. Ça se regarde quand on se fera vraiment chier. Ça pétarade dans tous les sens et encore une fois les Russes sont les gros méchants mais pas tous (diplomatie tout ça tout ça…)

https://youtu.be/bkAXkMBfwGk
  • Syrah Bonaly