On ne vous rappelle pas le but du rassemblement Critical Mass, tout est écrit ici et .

18h30 : Je dois d’abord passer à La Bécane à Jules pour quelques vérifications, on n’est jamais trop prudent. Sympa le service, adhérer à l’asso de la Bécane permet de bricoler son deux-roues avec tous les outils de l’atelier et de bénéficier des conseils de bons mécanos, super sympas et disponibles. Ca fait plaisir, big up la Bécane.

19h10 : Me voilà au rendez-vous Critical Mass, parking de la gare. Arrivant devant une belle soixantaine de bicleux en tout genre, deux sont armés d’enceintes branchées à leur iPOUD, un cycliste a dressé un drapeau pirate depuis son cadre, hissé haut, haut, haut. Un autre chevauche son vélo de postier (le jaune, le vrai). Une bien belle bande de gais lurons et autres pirates à deux roues, et des filles aussi bien sûr. Les premiers cris de guerre retentissent : CRITICAAAAAAL !!! Et là tous en coeur : MAAAAAAAAAAAAAASSSSS !!!!!! Oula, ça commence !

19h20 : Ca y est, c’est parti, chausse tes cales-pieds l’ancien. Le but est de passer de place en place en traversant Dijon, freiner un peu la circulation pour faire (doucement) chier les véhicules, mais leur expliquer le pourquoi du comment ce mouvement se réunit. Pour cela, des jeunes ou moins jeunes expliquent les raisons aux automobilistes, distribuent des flyers ou s’prennent des grosses insultes. Oui, c’est arrivé aussi. L’automobiliste est un éternel pressé, que voulez-vous.

20h : On évite de peu l’altercation place du 30 Octobre entre automobilistes surexcités de voir leur petit train-train bousculé par de simples cyclistes qui ont soif de revendications : roulez PROPRE ! Le peloton file ensuite doucement direction l’Auditorium, puis la Toison d’Or. Pause casse-croûte bien méritée.

Voilà pour nous, on n’a pas fait la redescente en groupe, rencard apéro oblige, on a du filer. Mais guettez les photos ci-dessous. A la prochaine les pirates !