Le chapitre dijonnais du Humanist Records festival s’ouvre ce soir au Consortium. En fait pour être précis, il y avait déjà un truc en before, hier avec Witch Lorraine en live pendant l’émission Canal Cancale. Pour ceux et celles qui ne connaissent pas encore ce festival qui commence à faire du bruit, l’idée est de mettre en valeur les musiques indépendantes et avant-gardistes. En clair, les trucs vraiment chelous mais sympas. Voici donc 10 bonnes raisons d’y aller.

1. Parce que tu trouves l’affiche tellement belle que tu soutiens activement la démarche. Par principe.

2. Parce qu’aller à un concert où va jouer un groupe qui s’appelle Direction Survet, ça te rend heureux.

3. Parce que tu trouves ça super d’écouter de la musique dans un endroit où tu n’es encore jamais allé, comme la salle romane du musée archéologique (mercredi 23 mai).

4. Parce qu’au moins un de tes potes connaît les membres du groupe The George Kaplan Conspiracy.

5. Parce que tu as déjà claqué presque toute ta paye dans des abonnements Rapidshare pour télécharger de la musique, et que ça t’arrange bien les concerts à moins de 10 euros.

6. Parce que dans ce genre de festival, il y a toujours au minimum un groupe dont le nom inclut le mot « Satan ». Et ça te fait marrer.

7. Parce que tu viens de terminer tes partiels et d’être en vacances, et que tu as décidé d’aller boire de la bière toute la semaine prochaine avec tes amies Erasmus.

8. Parce que New Order à Lyon dimanche pour Nuits sonores, t’en as rien à branler. Tu préfères garder ton pognon pour arroser tes potes au Deep Inside.

9. Parce que tu as cru que Stéphane Mbia était devenu chanteur et venait à Dijon. Alors que non, c’est l’instrument d’Andrew Dymond qui s’appelle comme ça ou presque.

10. Parce que tu appliques à la lettre ce que Sparse te dit de faire. Et là, Sparse te suggère d’aller tout voir.

 

Toi aussi, joue avec nous et propose une bonne raison d’aller au Humanist Records festival.

 

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Humanist Records festival, jusqu’au 26 mai à Dijon
Toute la programmation : ici

Photo : J.C.Satàn au Point FMR lors de l’étape parisienne du Humanist Records festival