Depuis le début des années 2010, Le roller-derby est un sport à la mode. Les équipes amateurs fleurissent un peu partout comme des jonquilles au printemps ; il y en aurait déjà neuf rien qu’en BFC. On aurait pu croire que ce n’était qu’une passade aussi éphémère que la tecktonik, Lady Gaga ou le bonnet à pompon… Mais non, il semblerait bien que ce sport très américain continue de séduire de plus en plus adepte chaque année, ils sont 262 (garçons et filles confondus) en BFC cette année et c’est particulièrement chez les filles que l’engouement est le plus contagieux. Tous les week-ends des demoiselles tatouées comme des mafieux russes et déchaînées comme des tempêtes, roulent des patins et jouent des épaules sur un flat-track tracé au scotch. On est allé jeter un coup d’œil à ce sport casse-gueule à l’occasion du premier plateau de la zone 4 du championnat de France de N2 organisé par le Roller Derby Dijon.

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  • Edouard Roussel

Photos : Edouard Roussel