Dans le cadre de l’atelier « Deviens journaliste », des élèves du lycée de Brochon ont rencontré Morgane Poillet, scénographe. Elle a eu la gentillesse et la patience de les recevoir. Elle explique en détails son implication au sein du festival GéNéRiQ.

Quel est votre travail en général ?

Mon rôle, ça a été de créer un décor pour le festival, être scénographe du Cellier. En général, je suis graphiste et artiste plasticienne, la scénographie j’en ai fait un petit peu. Là, c’était justement l’occasion pour moi de le mettre en avant, d’expérimenter quelque chose mais à la base je suis graphiste donc je travaille beaucoup pour le milieu musical, je crée des affiches et des flyers.

Êtes-vous déjà venue au Cellier avant le festival et si oui, combien de fois ?

Oui je suis déjà venue plusieurs fois, souvent pour des événements. Trois-quatre fois pour des événements, puis après pour des temps longs parce qu’il y avait du montage, avant les événements pour les festivals.

Comment adaptez-vous la scénographie aux artistes et aux décors ?   

Je l’ai surtout adaptée à partir des visuels qui avaient été créés pour le festival : jouer sur le côté décalé, comme on peut le voir sur l’affiche. On a représenté sur celle-ci un cow-boy déguisé en super héros dans des couleurs assez flashy.

Depuis combien de temps faites-vous ce métier ?

Mon métier de graphiste, ça fait deux ans maintenant. Artiste plasticienne, ça va faire quatre ou cinq ans. Scénographe… ça fait quelques semaines.

  • Manon, Élise, Paul, Juliann, Alban