Encore inconnus sur la carte du rock, les Français de Cannibale doivent leur nom au fait qu’ils pratiquent « une sorte de garage réunionnais » où la moiteur tropicale du groove bouffe lentement toutes les idées reçues sur ce que devrait être une sortie Born Bad (des Blousons noirs pogotant dans une cave). Si cannibalisme il y a sur No Mercy of Love, c’est donc plus en référence aux rythmes caribéens qu’on entend parfois, ainsi qu’à ce psyché de cambrousse, qui font de ce premier album une sorte d’anomalie au pays des 35 heures.

Membre fondateur de Headwar, Nicolas Belvalette, musicien, politicien (?) (label brique / parti sans cible / accueil froid / radiobrique) porte divers projets colorés wavepunk-tribal-indus. USÉ, son dernier en date et probablement le plus fascinant, joue la corde electro-techno-kraut et explore toutes les sonorités et rythmiques possibles d’un setup minimaliste, à savoir debout et seul devant une batterie. Son passage récent à la soirée Born Bad Records de la Gaité Lyrique a mis tout le monde d’accord, préparez-vous !

Pour participer au tirage au sort, il te suffit de laisser un commentaire sous l’article. Le gagnant sera contacté par mail la veille du concert, au matin. Et pense à regarder tes indésirables/spams au cas où. 

La soirée Born Bad avec Cannibale + Usé : 

  • LaPéniche (Chalon-sur-Saône)
  • Samedi 09 juin à 20h30 

Pour plus d’informations, clique ici