Alors que l’automne pointe le bout de son nez, avec ses rhumes et ses brumes, les 26 et 27 octobre la Péniche de Chalon ouvre grand ses portes à la musique et au soleil pour deux jours de festival comme on les aime. Ça va chanter, jouer, gratter, suer et vous faire danser (c’est clairement le pari), alors vous venez ?

Le 15 décembre 2012, vous souvenez-vous ? C’était il y a… 6 ans ! La Péniche de Chalon lançait sa première édition de Dancing People Don’t Die. Une soirée à écouter, danser, se laisser transporter sur les sons de Hyphen Hyphen, Spitzer, le prince Harry… Puisqu’une idée qu’elle est bien mérite d’être renouvelée, la Péniche relance la DPDD. A nouvel évènement, délire deux fois plus grand. Dancing People Don’t Die fait coup double. Deux jours, deux soirées, deux salles. Afrodance, hip-hop, afrofolk, électro, pop, techno, trance : une programmation éclectique, il y en aura pour tous les goûts. Retiens que la soirée sera plus afro et hip-hop vendredi (avec nos petits chouchous de Batuk) et plus electro le samedi.

Le vendredi soir, Sparse sera là pour ses célèbres top and flop, les enchères de vinyles de qualité à prix cassés. Le samedi, expérience unique avec la disco box. Vous connaissez le concept ? On vous explique. Des DJ mixent en direct, sous une tente dans la grande cour. Ils sont là, face au public, mais sans aucun son… Pour écouter, être casqués. La musique est diffusée dans des casques et le public équipé va bouger et danser sur ces sons endiablés (on se rappelle des « silent disco »). Dernière note pour vous immerger un peu plus dans un monde parallèle, le collectif Psy-Zinc décorera tout l’espace, de la cour à la grande tuerie, dans une ambiance très particulière faite de fresques psychédéliques, de douces formes fluorescentes et de fils entrelacés.

 

Terminons par les quelques mots de Sophie Bellamy co-directrice de la Péniche.

« Dancing People Don’t Die c’est un état d’urgence de la danse fait pour se défouler sur la piste, entrer en transe, s’agiter bêtement, onduler lascivement, zouker, pogoter, danser comme un poulpe ou une chèvre mais en tout cas s’agiter sévèrement pendant qu’on est vivant !

Comme on t’aime, il y aura à manger, à boire, des gens qui seront là pour prendre soin de toi. Ne t’inquiète de rien, juste VIENS ».

  • Erika Lamy

Plus d’infos sur www.lapeniche.org