Back in the game ! Le festival rétro-déglingue revient après une année de pause. Ça se passe à Autun maintenant, toujours au pied du Morvan.
On avait quitté le Rock’A’Bylette en 2017, avec un édition incroyable où ils ont fait déborder la petite ville de Luzy. Après une petite pause fraicheur d’un an mise à profit pour structurer ce festival du grand n’importe quoi, c’est tout simplement dans l’écrin du théâtre romain d’Autun que le Rock’A’Bylette remet le couvert avec le Rock’A’Bylette Circus.
Une grande fête populaire, bien rétro, un poil vintage, complètement déglinguée… Entre le festival rock, la foire à la saucisse, le festival des arts de rue, la convention d’amoureux de la belle mécanique, mais toujours avec classe et style. On y croise des familles comme des gens lookés à souhait : tatouages, chignons, salopettes, costard cintrés, gomina, robes à poids, etc. Du son, des animations complètements zinzins, de la vieille caisse et de la mob’. Pleins de mobs’.
80% du festival est gratos. Bim ! Les seuls trucs payants sont les concerts du vendredi et samedi soir, sur la scène du théâtre, avec deux soirées brutes de décoffrage. Vendredi, c’est King Automatic, le one man band zinzin, Johnny Mafia, LE groupe de garage de BFC, ou le rock bang bang et tropical de Cannibale. Samedi, on se prendra une belle gifle avec Frustration ou encore le garage punk des Lullies.
Le gratos ? Hé bin c’est tout le reste ! Toute la journée pendant le week-end : le marché vintage, les cours de danse, le concours de lancer de moteurs, celui du lancer de pantoufles, des expos de vieilles bagnoles, des balades en mobylette, du rétrogaming, des jeux débiles en veux-tu en-voilà, de la pétanque, des concerts gratuits all day long, un wall of death en moto ! La fête à Toto et aussi la Chapelle de l’amour, où l’équipe de Sparse pourra vous marier, comme Elvis à Vegas mais en moins gras… Ça va être une boucherie.
- Chablis Winston