Rues vides, premiers de cordée, visages masqués et passants hagards… Raphaël Helle, photographe de l’agence Signatures et œil de Sparse, a documenté ce confinement que certains ont vécu uniquement au travers de leurs quatre murs. D’autres étaient obligés d’aller bosser, d’autres encore ne pouvaient pas rester chez eux, n’en ayant tout simplement pas. Il a appelé ce travail « État provisoire… ». Dans Besançon sous occupation du virus, puis libérée. Ville fantôme, entre mars et mai 2020. Une tranche d’histoire qui restera dans les mémoires.





















- Raphaël Helle / Agence Signatures