Mendelson sortent leur dernier album. Pas leur dernier album en date. Par dernier, il faut bien comprendre la fin de l’histoire, le bout du chemin pour un groupe « obscure » qui triture la langue française de façon poétique depuis 1997. Sept disques qui racontent les itérations de Pascal Bouaziz au chant, accompagné de ces fidèles zigues, qui comme à l’image de Dominique A, Diabologum et consorts développe un son français expé, enfant de Gainsbourg époque Melody Nelson par ici ou plus sonique parfois à l’image de la décennie qui les a vu éclore.

Un concert à voir, pour dire que l’on y était, ou tout simplement pour voir la fin d’une belle histoire.

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