L’Amérique, l’Amérique, je veux l’avoir et je l’aurai…

WATER MUSIC / T.C. Boyle.

Déjà parce que T.C. Boyle, dont c’est le premier roman. Et puis parce que c’est un bon gros pavé qui transporte loin, sur les rives du Niger au XIXème siècle, en plein milieu de l’Afrique Centrale encore méconnue des Européens. Les aventures loufoques d’un jeune explorateur déjanté en terre inconnue. Mike Horn en vachement mieux. Du rythme, de l’émotion. Mon préf’ de cet auteur

DIFFERENTES SAISONS (Different Seasons) / Stephen King.

Quatre nouvelles à la suite. Rare bouquin non fantastico-fout-la-trouille de King. Enfin si, la dernière nouvelle par en vrille. Parce que c’est King quand même. Les 3 autres ont donné des films : Les Évadés, Un élève doué et Stand by Me. Une merveille. Parfait au printemps

L’APRÈS-MIDI BLEUE (Blue afternoon) / William Boyd.

Magnifique mélo qui ferait chialer Chuck Norris. L’Amérique, les années 30, et une histoire de famille improbable. Bon sang que c’est beau ! Bon sang que j’ai pleuré !

LE DALHIA NOIR / James Ellroy.

Ellroy bien sûr. J’aurais pu choisir un autre de ses romans. Tous en fait. Mais celui là ! Le mètre étalon des polars, par le maître du genre. Magiquement flippant. J’en dirai pas plus.

RETOUR EN TERRE (Returning to Earth) / Jim Harrison.

Écriture simple et cash. On n’est pas là pour enfiler des perles. Un homme qui se sait condamné dicte à sa femme son histoire de famille à moitié indienne, pour la transmettre à son fils. C’est loin d’être triste, au contraire. C’est plein d’espoir et c’est beau. C’est pfffou !

  • Louise Vayssié